Francis vient de publier une note pour nous tenir informé des progrès de Zappos, son confrère et modèle américain qui connaît une croissance enviable (relire note ci-dessous !).
Bon, il manque quand même une chose, on a pas la rentabilité du modèle !
Remarque en passant sur le modèle Zappos/Sarenza/Spartoo : j'aime ces modèles d'e-commerce : on prend une très grosse catégorie du commerce de détail (pour la chaussure, c'est 40 Mds $ aux US et 50Mds € en Europe !), on offre via Internet une superbe alternative aux consommateurs : choix très large et aisé, fulfilment et customer service nickel, retour gratuit, et...on fonce !
Un millier de petits détails à régler quand même (c'est tout l'art de l'exécution correcte), mais quand ça marche, ça marche fort avec des gros chiffres tout de suite !
PS : ouverture de Spartoo à 14h aujourd'hui !
MAJ 23h30 : suite à l'ouverture de Spartoo, Francis Lelong, co-fondateur de Sarenza, nous donne ICI ses premières impressions, mitigées. Je trouve ça sympa d'aider la concurrence ! Bien, Boris, et quand est-ce que tu nous fais une critique impartiale de Sarenza ?
MAJ Mercredi 10h30 : Jérôme, qui par ailleurs a un bon blog "e-commerce oriented" (et hop, in the blogroll) s'est aussi fendu ICI d'une 1ère analyse de Spartoo. Comme Francis, il est déçu de pas mal de choses. Boris, tu as un droit de réponse !
MAJ Mercredi 12h15 : commentaire de Boris, débordé par le lancement comme il se doit mais que j'ai quand même eu ce matin : "Le monde ne s'est pas fait en un jour :-) "
Effectivement, la rentabilité est importante : Zappos a annoncé dans le même temps avoir été profitable sur les deux derniers trimestres, mais sans donner de chiffres précis. Ils devraient être à l'équilibre cette année sur l'ensemble de l'exercice fiscal. Il est clair que l'entrée il y a deux ans de Sequoia Capital avait pour objectif l'IPO. Pour ça, il faut bien évidemment être rentable !
Posted by: Francis | August 16, 2006 at 11:13 AM
Ah, il se la joue donc à l'américaine, il faut 600M$ de CA pour arriver à l'équilibre ?
Posted by: Michel de Guilhermier | August 16, 2006 at 11:17 AM
c'est ce que l'on s'est dit aussi. ;-)
le prix d'une croissance folle sans doute ! Mais Amazon n'a pas fait mieux. c'est sans doute une des grandes différences entre les business models US et les nôtres.
Posted by: Francis | August 16, 2006 at 11:19 AM
Justement, Amazon n'est vraiment pas une référence en matière de rentabilité e-commerce !
8 ans pour arriver à dégager un petit quelque chose, dont la pérennité n'est même pas assuré, avec un Jeff Bezos qui annonce en plus qu'il doit renforcer ses dépenses de R&D pour maintenir son avantage concurrentiel...
Posted by: Michel de Guilhermier | August 16, 2006 at 11:21 AM
> PS : ouverture de Spartoo à midi aujourd'hui !
Si je sais compter c'est plutôt 14h !!
Posted by: Nicolas | August 16, 2006 at 11:49 AM
Tu sais mieux compter que moi ! Merci :-)
Posted by: Michel de Guilhermier | August 16, 2006 at 11:52 AM
Zappos est ouvert depuis 5 ans, c'est déjà mieux qu'Amazon ! Mais la grande différence, c'est que sur la chaussure, les marges sont de 50% alors que sur les bouquins ...
Posted by: Francis | August 16, 2006 at 12:10 PM
Oui, certes, mais il n'y a pas les mêmes coûts derrière aussi !
Je suppose qu'une telle marge est nécessaire pour payer la logistique (plus coûteuse que sur les bouquins), les invendus car on a fait une erreur de sourcing (problème qui est marginal dans le livre), et les retours (qui chez Zappos représentent 20%) ?
Posted by: Michel de Guilhermier | August 16, 2006 at 12:16 PM
Michel, tu n'es pas le seul à ne pas savoir compter...
Regarde le compteur !!!
http://www.spartoo.com/
Posted by: Nicolas | August 16, 2006 at 02:00 PM
un petit peu de retard à l'allumage semble-t-il ! ;-)
Michel : la complexité du sourcing dans la chaussure provient plus de l'éclatemment des fournisseurs (1500 marques en europe) que des produits en tant que tel. Chez Zappos, comme chez Sarenza d'ailleurs, tous les produits sortent. Il ne faut juste pas se tromper dans les quantités. Mais tu as le même pb ds les livres : un best seller se vend bien sur le premier mois de sa sortie, ensuite c'est beaucoup plus difficile. Il faut donc faire de bonnes prévisions de ventes pour ne pas se tromper. Le côté "mode" dans l'édition n'est pas si loin de ça que celui de la chaussure. Ceci dit, est-ce que quelqu'un sait ce que représente aujourd'hui le livre dans la part du CA d'Amazon ?
Posted by: Francis | August 16, 2006 at 02:19 PM
Bon, spartoo est ouvert, y a pas grand choses dedans :-/
Posted by: Hubert | August 16, 2006 at 03:07 PM
je viens d'essayer de passer une commande : impossible. gros bug au moment du paiement. Je vais attendre un peu avant de faire mon test je croie !
Posted by: Francis | August 16, 2006 at 03:18 PM
C'est quand même sympa lorsque les concurrents font aussi du beta test !
Le premier acheteur du Mini Livre Photoways fut d'ailleurs un concurrent !
Posted by: Michel de Guilhermier | August 16, 2006 at 03:31 PM
ben c'est bien pour ça que je voulais être le premier à passer commande sur Spartoo !!! ;-)
Posted by: Francis | August 16, 2006 at 03:37 PM
t'as besoin de Tongs Francis ?
Posted by: Hubert | August 16, 2006 at 03:38 PM
comment as-tu deviné que j'étais parti sur les tongs ! tu es trop fort Hubert ! ;-)
pour info, je viens de poster mon premier test de Spartoo
Posted by: Francis | August 16, 2006 at 03:58 PM
Francis, à mon avis tu as tort de parler des concurrents sur ton blog.
Par ailleurs, tu leur donnes trop d'info et de conseils !
Posted by: Michel de Guilhermier | August 16, 2006 at 04:01 PM
idem que Michel, et le bouquin de Sarko à lire peut-etre trés mal vu d'un client plutot à gauche !
Posted by: Hubert | August 16, 2006 at 04:26 PM
Surtout qu'il paraît que Sego veut acheter ses futurs chaussures en ligne !
Posted by: Michel de Guilhermier | August 16, 2006 at 04:29 PM
Michel : pour ce qui est de l'analyse du site concurrent, au contraire. J'essaie d'être tout à fait impartial et c'est mon droit de donner mon avis. je l'ai fait pour Bata et je le ferai pour tous les futurs concurrents. Et bien évidemment, j'accepte que ce soit fait aussi en retour. Et pour ce qui est des conseils, a eux d'en faire bon usage. Par ailleurs, d'un point de vue plus "phylosophique", j'ai tendance à penser que j'ai des confrères plutôt que des concurrents. Ca n'est pas dans ma nature de voiloir écraser un concurrent par exemple, mais plutôt d'essayer de faire mieux avec mes moyens.
Hubert : pour Sarko, je vais bientôt faire un post sur ce que j'ai pensé du bouquin, et par ailleurs, le Ségo sera bientôt dans la liste aussi ;-)
Posted by: Francis | August 16, 2006 at 05:05 PM
Oui Francis, je suis comme toi, je veux avoir des confrères (j'ai des relations cordiales avec tous quasiment tous),
Mais faut pas être gentil au point de leur donner des conseils !
Moins tu en dis publiquement sur tes confrères, mieux ça vaut. Crois moi. S'il y en a un mal intentionné, qui lui te voit comme l'homme à abattre, ce qui peut toujours arriver, il pourrait prétexter n'importe quoi pour te chercher noise. C'est rare, mais ce risque est réel et il n'est pas utile de le prendre.
Bref, il faut être ouvert et bienveillant, mais rester prudent quand même !
Posted by: Michel de Guilhermier | August 16, 2006 at 05:12 PM
"Il est clair que l'entrée il y a deux ans de Sequoia Capital avait pour objectif l'IPO", je ne dirais pas que c'est clair...
"Mais la grande différence, c'est que sur la chaussure, les marges sont de 50% alors que sur les bouquins ..." c'est un raisonnement Inductif de trouver un lien entre l'espèrance de faire de l'ebitda et la marge commerciale...
Posted by: J. | August 16, 2006 at 06:33 PM
Exemple d’un raisonnement inductif :
Une affirmation (vraie ou fausse n'est pas le pb): Dans le commerce spécialisé, les résultats d’exploitation (en % du ca) importants sont générés par la vente de produits offrant une forte marge commerciale.
Le raisonnement inductif : Je vais vendre des produits avec une forte marge commerciale DONC mon résultat d’exploitation sera positif tôt ou tard.
Plus parlant? voyez, "l'anecdote de la dinde" du Philosophe/Logicien Bertrand Russell.
Sur la logique/l’épistémologie, je vous conseille le livre « What is this Thing called Science » d’Alan Chalmers. Ce livre est une bonne base pour poursuivre le sujet car la bibliographie est très riche…
Posted by: J. | August 16, 2006 at 08:10 PM
mon raisonnement inductif était plutôt le suivant : dans le e-commerce, des sites (pas nombreux je le concède) sont rentables en vendant des ordinateurs et des produits électroniques grands publics avec des marges très faibles, des complication logistiques importantes, une concurrence folle. Donc, avec des marges 3 à 4 fois supérieures, on doit quand même pouvoir tirer quelque chose de ce business. Non ? ;-)
Posted by: Francis | August 16, 2006 at 09:07 PM
Francis/ J'avais compris votre raisonnement comme vous l'écrivez; le "Donc" est toujours mal placé, c'est un raisonnement inductif (il n'est pas logique)...
En regardant, plus son contenu...L'organisation d'un producteur "electronique grande conso" est vraiment très différente de la Chaussure...Pourquoi, La Chaussure/Les Chaussures (celles qui se vendent!!!) serait la catégorie de produits (l'activité) qui génère un des plus importants ratio ebitda/ca de certaines marques?
Posted by: J. | August 16, 2006 at 10:12 PM
Pour avoir vendu dans une autre vie d'autres produits sur le web (à l'époque de BlackOrange), il n'y a pas tant de différence que cela en fait, si ce n'est le montant du panier moyen. Chaque activité a bien évidemment sa propre structure de coût, mais au final, on se retrouve à devoir générer du trafic, transformer ce trafic en clients, gérer la logistique et fournir un service client de top niveau. A chaque e-commerçant de fixer le curseur de dépense pour chacune de ces fonctions corrélativement à ses objectifs : ceux de C-discount par exemple sont très éloignés de ceux de Sarenza.
Posted by: Francis | August 16, 2006 at 10:22 PM
ok, j'aperçois votre logique pour aborder ce marché...
Posted by: J. | August 16, 2006 at 10:29 PM
Bientôt l'Europe...
Posted by: J. | August 16, 2006 at 10:50 PM
très bientôt ....
Posted by: Francis | August 16, 2006 at 11:06 PM
C'est une chance d'avoir un VC ambitieux...
Posted by: J. | August 16, 2006 at 11:12 PM
2 VC ambitieux ! ;-)
Posted by: Francis | August 16, 2006 at 11:19 PM
Francis, c'est donc la confirmation de la levée de fonds ?
Parce qu'avant il n'y avait qu'un seul VC, celui qui a voulu tout pré-empter en octobre et ne m'a pas permis d'être à tes côtés !
Posted by: Michel de Guilhermier | August 16, 2006 at 11:22 PM
Il faut les faire "payer" car logiquement vous serez plus gros que Zappos. La valeur du marché européen est sup à celle du marché US...
Posted by: J. | August 16, 2006 at 11:25 PM
Pas de problème Jean, la valo du 2ième tour de Sarenza sera certainement très sympa !
Posted by: Michel de Guilhermier | August 16, 2006 at 11:33 PM
"logiquement";) je n'en doute pas...
Posted by: J. | August 16, 2006 at 11:39 PM
Francis, concernant le fait de tirer quelque chose d'un business parceque les marges brutes y sont fortes je pense que c'est très rapide. L'exemple de Zappos semble démontrer qu'il faut un CA énorme pour commencer à être profitable et donc à marger net avec de la chaussure. A l'inverse, dans les produits électroniques, il y a plétores de vendeurs online qui vivent (peut-être vivotent, d'accord) avec des CA pas bien mirobolants. J'aurais donc plutôt tendance à dire qu'il est plus facile de marger net (c'est ça qui est important plutôt que la marge brute) sur de l'électronique que sur de la chaussure (même si je crois en la chaussure online, j'en ai acheté sur ebay et en étais très content!)
Par ailleurs, il me semble que c'est l'activité bouquin qui a été la première à être profitable chez Amazon malgré le fait qu'aux US les prix sur les bouquins sont libres et donc descendent parfois très bas... Il faut dire que les marges brutes sur les bouquins sont bien plus importantes que tu ne sembles le penser...
Posted by: Nicoolas | August 16, 2006 at 11:39 PM
C'était un message pertinent d'un futur entrepreneur du livre ! Nicolas, je reviens vers toi bientôt.
Posted by: Michel de Guilhermier | August 16, 2006 at 11:42 PM
Futur entrepreneur du livre? où sur la chaîne comme Chevrillon Philippe Industrie, côté distri...?
Posted by: J. | August 16, 2006 at 11:49 PM
Nicolas nous en dire plus quand ce sera prêt !
Posted by: Michel de Guilhermier | August 16, 2006 at 11:52 PM
Il y a presque 2 ans, j'avais rencontré un jeune commerçant (42 ans) avec le sens des affaires (il venait de revendre une chaîne de distri GSM de chaussures qu'il avait bâti de Toutes Pieces, 17 magasins en région...). Je crois qu'il avait raison.
Posted by: J. | August 17, 2006 at 12:05 AM
Francis ou Boris pourraient peut-être aimer le rencontrer ?
Posted by: Michel de Guilhermier | August 17, 2006 at 12:12 AM
Son point de vue n'est pas celui ni de francis, ni de Boris (a priori)...Demain, je téléphone chez Exane pour vérifier un truc...Et là, j'arrête...
Posted by: J. | August 17, 2006 at 12:18 AM
Michel : ha bon, y'a un second VC chez Sarenza ??? ;-)))))
encore qques jours de patience !
Nicolas : tu as raison concernant Zappos, mais leur rentabilité tardive n'est dû qu'a une volonté de privilégier la croissance sur l'EBITDA. Comme dans tout business, cet arbitrage reste valable dans la chaussure. De plus, il ne faut pas oublier que Zappos est le premier acteur de ce marché, et que ça coûte tjs plus cher pour le pionner, même si au final la prime au premier entrant compense le coût plus élevé : aux US, le numéro 2 de la chaussure en ligne (shoes.com) est 5 à 6 fois plus petit que Zappos.
Je n'ai aucun doute sur le fait que dans ce marché il y a aura également l'émergence de petits acteurs ultra-spécialisés qui seront rentables avec des structures de coûts réduites
Posted by: Francis | August 17, 2006 at 09:30 AM
Oui Francis, mais ça fait qq jours que tu nous dis "plus que qq jours" !!
Posted by: Michel de Guilhermier | August 17, 2006 at 09:33 AM
Francis, re les segments très pointus du marché de la chaussure dans lesquels de petits acteurs aux coûts fixes faibles pourraient réussir.
Pourquoi pourraient ils résussir mieux qu'un gros généraliste comme Sarenza ou Spartoo ?
Peux tu nous donner les arguments philosophiques et economiques ?
Posted by: Michel de Guilhermier | August 17, 2006 at 09:42 AM
"Le monde ne sait pas fait en un jour :-) "
L'orthographe non plus :)
Posted by: Jerome | August 17, 2006 at 03:41 PM
Jérome, j'ai fait un copier-coller du mail de Boris.
Mais je corrige !
Posted by: Michel de Guilhermier | August 17, 2006 at 04:04 PM
je ne ferai aucun commentaire sur l'orthographe et la grammaire étant un réfractaire de longue date. ;-)
Michel : je me suis fais mal comprendre. je pense bien évidemment qu'un gros généraliste comme Sarenza a bien plus de chance de réussir qu'un ultra-spécialiste. Pour une raison simple d'économie d'échelle, encore plus flagrante sur un marché très segmenté comme le nôtre.
Mais tout dépend de ce que l'on entend par réussir. Beaucoup se contenteraient d'un site qui ferait 2 millions d'euros de CA pour 150K€ de résultat net (soit la taille d'un beau détaillant français). Certes ce genre de structure n'intéressera pas un VC, mais l'exemple récent de la Fraise montre que le succès est possible sur ce genre de volume d'affaires.
Posted by: Francis | August 17, 2006 at 04:28 PM
suite MAJ de Mercredi 12h15 : Boris, avec plaisir pour tes commentaires sur mon blog et ta critique de Sarenza. Si tu veux me l'envoyer par email, je te propose de la publier sur mon blog.
J'en profite d'ailleurs pour saluer la sportivité de l'équipe Spartoo qui m'a appelé hier suite à un pb sur ma commande. Ce n'est jamais simple de se lancer. Très sincèrement on vous souhaite tous ici bon courage.
Posted by: Francis | August 17, 2006 at 09:28 PM
Tout d'abords désolé pour l'orthographe, le mail est parti un peu vite.
Je tiens à revenir sur les différentes remarques qui ont été évoquées par certaines personnes sur différents blogs.
Concernant l'offre :
Spartoo.com a tenu ses promesses en ouvrant le 16 août 14h (heure d’hiver :) ) . Nous savions dés le départ que l'offre proposée serait limitée à ce moment de l'année car les produits arrivent tout juste dans les entrepôts (contraintes liées au marché de la chaussure). N'hésitez pas à revenir régulièrement sur le site, Il y aura de nombreuses marques dont des marques en exclusivité mondiale !
Nous ne cherchons pas à accumuler un grand nombre de marques comme on peut le voir sur certains sites avec 4 ou 6 références par marque. Nous privilégierons la profondeur de gamme et nous nous attacherons à sélectionner les marques qui font la/les mod(e)s.
Concernant la navigation :
Spartoo.com propose une navigation innovante avec deux clés d'entrée :
- une clé d'entrée par univers qui permet aux clients de trouver les produits qu’ils recherchent.
- Une clé d’entrée par marque pour les aficionados des marques.
Cette approche permet une navigation claire. Spartoo.com ressemble en rien à ce qui se fait aujourd’hui sur les sites de chaussures (type zappos) où on a l’impression de se trouver dans un supermarché !
Spartoo.com offre une visualisation innovante des produits avec le 360°. Le client peut ainsi visualiser sa chaussure comme s’il était en magasin en la tournant dans tous les sens.
Concernant notre politique tarifaire :
Spartoo.com se concentre sur la qualité du service et la qualité de l’offre. Nous n’avons pas vocation à faire du discount ou casser les prix en pleine saison comme on peut le voir chez certains acteurs français (même après les soldes !). Nous souhaitons offrir à nos clients des produits tendances et de saison avec un service excellent !
Nous voulons offrir à nos clients une shopping expérience unique !
De plus, Spartoo.com offre aujourd’hui à ses clients les dernières avancées technologiques. La plupart des pages intègrent les dernières technologiques ajax tant convoitées par la « bulle » WEB2 (pages smartsize, l’ensemble de « mon compte, mon profil, commentaires produits etc..). Ces technologies offrent à nos consommateurs la possibilité de s’exprimer sur les produits (cf commentaire sur les modèles), sur les produits qu’ils ont achetés (cf mon profil) ainsi qu’une navigation beaucoup plus claire et moins contraignante (pas de rafraîchissement de page etc.)
Il reste cependant encore beaucoup à faire. Comme je l’indiquais à Michel, le monde ne s’est pas fait en un jour. Je vous propose donc de venir régulièrement sur www.spartoo.com pour découvrir en exclusivité de nouvelles marques et de nouveaux produits tendances.
A bientôt,
Boris
Ps : pas de critique publique sur la concurrence, je préfère parler de spartoo.com à mes clients :)
Posted by: boris | August 18, 2006 at 11:15 AM
Merci Boris, belle réponse complète !
Bon courage, tu as un vaste marché devant toi, fonce avec discernement !
Posted by: Michel de Guilhermier | August 18, 2006 at 11:22 AM
Ce point: "Nous n’avons pas vocation à faire du discount ou casser les prix en pleine saison comme on peut le voir chez certains acteurs français (même après les soldes !)" me semble intéressant.
Sur sa page d'accueil, mettre en avant des promos est risqué (image, report d'achats...).
Dans la grande distri, les promos en tête de gondole sont consacrées (en général) à des produits à fort volume, forte demande, pour en accroître encore le volume (entre autres) et non pour écouler des invendus...C'est win-win, le client fait une bonne affaire et le distri conserve au moins la même marge en valeur absolue.
Posted by: J. | August 18, 2006 at 12:02 PM
Merci pour la réponse Boris. Le 3D fonctionne aujourd'hui chez moi, c'est sympa.
Posted by: Francis | August 18, 2006 at 12:30 PM
Ce qui me "scotcherais", c'est que le 2eme VC de Sarenza soit GRP Partners...moins si c'est Arts Alliance ou Net Partners.
Posted by: J. | August 19, 2006 at 12:49 AM
elles sont ou les converses chez spartoo
Posted by: jean-luc | October 30, 2006 at 10:02 PM