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« Le Règne du X ! | Main | Petit Cadeau Reçu ce Matin ! »

October 29, 2008

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Je rajouterai deux points :
- la puissance de la marque
- la puissance du catalogue virtuel.

La puissance de la marque : il est concevable que des marques fortes puissent se développer réellement sur le Net, et en faire un canal (de plus ou complémentaire dans la capture des clients, je en sais pas). Pour reprendre des exemples qui te/me sont chers : Apple, Aston Martin, mais aussi des maisons spécialisées en caviar par exemple... L'attrait de la marque, son histoire, les services additionnels...tout cela peut constituer des atouts forts pour justifier de se développer per se sur le Net et attirer des clients (les visiteurs c'est bien, les clients c'est mieux).

La puissance du catalogue virtuel : Mais je suis bien certains que seules quelques marques dans chaque secteur peuvent se le permettre, à condition de bien maitriser le Web. Et c'est là qu'intervient l'autre point, la puissance des sites "de distribution", et de leur offre quasi infinie.

Pour trouver son bonheur lors du choix d'un luminaire, d'un canapé, d'une croquette pour son chien ou...d'un jouet (suivez mon regard), quel internaute accepterait aujourd'hui (et encore moins demain) de faire les sites de toutes les fabricants, regarder chaque catalogue, chaque CGV...? Le reflexe naturel, est d'aller sur des sites regroupant cette offre. Et là l'effet longue traine (offre exhaustive...), accompagné de services idoines, d'offre bien montées...sont sans doute irrésistibles. C'est sans doute dans les acteurs de la distribution que le web va alors tout changer.

Et je suis bien certain que dans les 24-36 mois, le web va représenter bien plus de 10% du CA du total du commerce. Mais c'est un autre débat...

Oui oui Jean Denis, mais je pense qu'il faut l'analyse.

Il y a des marques fortes dans le retail qui ont du mal à fonctionner dans le online pour différentes raisons.

Tu as raison de pointer sur l'importance et l'influence des distributeurs multi-marques dans des contextes de "long tail" de produits plus ou moins commoditisés ou à la différenciation globalement pas dramatique.

Si le consommateur n'est pas axé sur un produit ou une marque mais veut un large choix avant de se décider, alors la magasin officiel ne pèsera pas lourd face à un multi-marques. On en revient donc à un étude fine et pragmatique du comportement et de la psychologie du consommateur.

Encore un excellent post

j'ajouterai une nuance:
le CA physique va vraissemblablement se situer dans ces eaux

en revanche je suis persuadé qu'un CA de service va de plus en plus se développer en complement pour les marques sur le net et rendre très stratégique la maitrise de ce canal

La customisation des produits, avant vente ou après vente (upgrades, accessoires, etc...) d'une vente magasin devra de plus en plus passer par le net, voire le net mobile
Certaines enseignes intégrées comme Ikea on deja bien compris ce virage et pris des longueurs d'avance

Dans l'hyperluxe ce sera certainement encore plus indispensable vu que les clients fuient le vulgaire (au sens premier)

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