Chers amis,
Je vous souhaite une excellente année 2016, une santé de fer, de l'amour et de la bienveillance autour de vous, et des projets excitants pour maintenir le peps de la vie !
Si j'ai quelques conseils de base à donner pour avoir une bonne année :
- Donnez-vous simplement sur l'année 2 ou 3 objectifs ambitieux, mais parfaitement mesurables et réalisables. Des objectifs qui vous rendront fiers et heureux une fois accomplis, notamment parce qu'ils sont en concordance avec vos valeurs profondes (d'où l'exercice impératif de mettre à plat vos valeurs, à savoir ce qui est vraiment fondamental pour vous dans la vie). Ces 2 ou 3 objectifs annuels devant par ailleurs rentrer dans un plan plus vaste s'étalant sur une ou plusieurs décennies...Sachant aussi que LE grand objectif de la vie, c'est de faire ce que l'on aime ! Car ce qu'on aime, on le fait bien, sans effort véritable, et on va beaucoup plus loin...
- Aérez-vous et sortez de la routine en allant découvrir au minimum 3 ou 4 lieux clés que vous n'aviez jamais visités auparavant. En famille ou avec des amis. S'émerveiller et découvrir à plusieurs, c'est quand même mieux.
- Riez au moins 3 fois par jour, ça détend. Pour être sûr d'y arriver, au delà de rigoler avec ses potes ou en allant voir un film, le plus simple et direct est sans doute aussi de rire de soi, de ses erreurs, errements ou de ses excès ! Ce qui donne au passage de l'humilité, valeur de base pour progresser ! En ce qui me concerne, je suis assez intransigeant sur certaines valeurs (honnêteté, respect de la parôle et des engagements), et je rie donc de mon intransigeance...parfaitement assumée ;-)
Le 7 janvier 2015, je donnais mes voeux de l'année en espérant la multiplication des vocations entrepreneuriales. Et, de fait, je crois que je n'ai jamais vu autant de projets se lancer qu'en 2015...Sauf peut-être en 1999/début 2000, lors de la Grande Bulle ! Pour ceux qui ne l'ont pas connue, ou l'ont oubliée, c'était une époque où l'on marchait sur la tête, où l'on valorisait tous les projets Internet une petite fortune car on croyait que tous les arbres allaient monter rapidement au ciel. Dans la réalité évidemment, une infime proportion seulement y sont montés (ie Amazon, Google...), et il a fallu un peu de temps quand même !
Les temps ont évidemment changé, Internet n'est plus un rêve naissant avec quelques dizaines de millions de personnes concernées seulement de par le monde, mais une véritable industrie, avec des acteurs colossaux et des opportunités qui ne le sont pas moins avec plus de 3 milliards d'internautes aujourd'hui, d'autres technos prometteuses se développent (internet des objets, wearables, voitures électriques et après demain autonomes, impression 3D, réalité augmentée et réalité virtuelle, etc), mais on retrouve aussi parfois une véritable exhubérance dans les valorisations ainsi qu'également des envolées lyriques dangereuses.
A tel point d'ailleurs que plusieurs VC et acteurs importants du Private Equity (LBO) m'ont avoué récemment qu'ils espéraient l'éclatement de ce qu'ils qualifiaient de "certaine bulle", afin de baisser les prix des actifs et des valorisations des levées de fonds et...redonner un peu de pragmatisme et de bon sens à ceux qui ont oublié l'histoire ! Même s'il peut y avoir pendant un temps assez long une déconnexion entre le prix et la valeur des choses, la réalité économique frappe tôt ou tard toujours à la porte. Si on est clairement pas dans le contexte de 2000 où toutes les valeurs Internet valaient bien trop cher, s'il existe aujourd'hui moultes très belles sociétés avec de beau potentiel, tout n'est quand même pas de l'or, et loin de la !
On ne peut pas tout avoir et le malheur des uns fait le bonheur des autres : un incroyable entrepreneur, aujourd'hui associé à L'Accélérateur, qui a revendu l'année dernière sa société pour un nombre à 9 chiffres (profitant justement de l'inflation sur le prix de vente des sociétés), se plaignait du niveau des valorisations pour ses investissements ! Morale de l'histoire, il vaut mieux être vendeur qu'acheteur ou investisseur ces temps-ci ! Ce qui est d'ailleurs le conseil de Warren Buffett pour s'enrichir : "be fearful when others are greedy, be greedy when others are fearful".
Un leveur de fonds bien connu de la place me disait aussi qu'il y avait aujourd'hui pour lui "trop d'entrepreneurs", voulant dire par la, "trop d'entrepreneurs improvisés qui ne devraient pas l'être, qui l'étaient par mode mais qui n'en avaient pas les qualités intrinsèques ou la motivation fondamentale...".
C'est aussi mon ressenti. Mais en même temps, entreprendre est une si belle et noble initiative qu'on n'a pas trop envie d'en dissuader les would-be entrepreneurs ! Surtout que, en se lançant jeune, il n'y a pas vraiment de risque car au pire on aura vécu une belle aventure, dure mais gratifiante, qui aura beaucoup appris. Il faut cependant juste donner un peu de réalisme, et insister de nouveau sur une chose : il faut avant tout faire ce que l'on aime, pas de faire quelque chose par simple et pure opportunité.
Si on peut certes "apprendre" de façon académique les rudiments du succès entrepreneurial, la réalité est aussi tout simplement que la réussite demande beaucoup de ténacité et énormément de travail sur le terrain ! Passer d'une bonne idée potentielle à un business important, rentable et pérenne, demande quelques milliers de choses à bien faire et exécuter, à commencer par rassembler une superbe équipe (de "doers" comme on dit en anglais).
Et soyons d'ailleurs la aussi concret : créer et développer une entreprise sur le long terme, c'est difficile, et souvent même très difficile. Pour tenir sur la distance, savoir encaisser les nombreux coups sur le chemin, vivre avec les quelques hauts et les nombreux bas, gérer les erreurs, relativiser les échecs et en tirer des leçons, supporter la pression quasi permanente et le stress, triompher des difficultés et de l'adversité, surmonter les (nombreux) moments de doute, il faut une incroyable motivation et détermination. Avec du recul, je peux vous dire que celle-ci, quand elle est alliée à du pragmatisme et du bon sens, est la clé de la réussite.
Certes, il y a aussi ceux qui, pétris d'arrogance, ne doutent jamais de rien, mais ce ne sont pas forcément ceux là qui bâtissent et vont loin. Car l'une des clés de la réussite entrepreneuriale, c'est sans doute d'avoir une grande confiance (en soi, en son projet et à son sens), nécessaire pour être tenace, maintenir sa motivation et surmonter les difficultés...mais aussi aucune certitude, nécessaire pour être flexible et s'adapter avec pragmatisme au réalités du terrain et aux changements ! Et comme le suggérait Warren Buffett "when arrogance adds up with ignorance, you get pretty interesting results" !
Tous ceux qui ont étudié l'Histoire savent qu'il y a des cycles, des retournements, des excès en sens contraire, mais ce qui me semble tout aussi certain, c'est qu'en étant à la fois réaliste et bâtisseur très long termiste, on fait fi de ces cycles et on ne peut que gagner sur la distance ! Il faut avoir un objectif long terme, donner du sens à son combat de tous les jours, ce qui permet de passer au delà des modes, des bulles et des cycles.
Je ne sais pas si 2016 sera une année de retour à plus de réalisme (en fait, j'en doute même un peu, je parie plus sur 2017), mais je me faisais la réflexion que depuis le lancement de ma vie entrepreneuriale à 33 ans en 1996, toutes les années bisextiles furent finalement - avec du recul - de grandes et belles années !
Petit retour en arrière donc pour étayer ces 5 dernières années bissextiles, de 1996 à 2012 :
En 1996, après près de 10 ans à travailler pour les autres dans le conseil (Bain & Co) ou l'agro-alimentaire (Dole Food, PepsiCo), je me lançais en rachetant le groupe de distribution au détail Provifruits, une grosse trentaine de magasins dans la région lyonnaise. Je la revendais en 1999 et l'entrepreneur qui m'a racheté la société l'a après très bien développée, puisque c'est aujourd'hui la 1ère chaine en France de ce type, ICI. Je n'ai pas coupé les ponts, j'en reste encore proche, comme je l'étayerais certainement en 2016...
2000, au plus haut de la bulle, fut bien sûr l'année de lancement de Photoways, aujourd'hui Groupe Photobox (après avoir racheté la société anglaise éponyme en 2006, ici), réalisant près de 400M€ de CA, n°1 européen et n°2 mondial dans son activité. Revendu récemment pour la bagatelle de 540M€ à 2 acteurs du Private Equity, plus belle sortie eCommerce ever en France ! Relire ICI l'histoire et les 1ères années de Photoways.
2004 fut une année marquante car pour sa 5ième année d'activité Photoways devenait enfin profitable, et même de façon confortable avec plus de 10% de taux d'EBIT (pour un CA de l'ordre de 6M€). Son succès avait alors attiré 2 gros VC, Index Ventures et Highland Capital, qui en juillet 2005 injectèrent 24M€, ce qui était un beau tour de table ! Au delà de ces performances financières, Photoways a surtout été un sacré innovateur, et cet ADN est bien resté par la suite.
En 2008, 1 an après mon départ effectif de la présidence de Photoways-Photobox et avoir dans la foulée crée Inspirational Stores dans le secteur de la "délégation eCommerce", nous réussissions le tour de force, en plein coeur de la crise financière de septembre, de lever 10M€. C'était à l'époque , et c'est toujours d'ailleurs, l'une des plus importantes levées en France dans l'eCommerce. Très ironiquement, 2 mois plus tard, nous prenions la décision de quitter le secteur et fusionnions très discrètement en juin 2009 avec le groupe Motoblouz, qui à l'époque ne faisait que 5M€. Fast forward en 2016, Motoblouz devrait frôler les 50M€ de CA, a une part de marché de près de 50% en France, est le 3ième acteur de sa catégorie en Europe, et est bien rentable. Anecdote cependant, le site "Inspirational Stores", totalement anachronique, existe toujours, mais personne ne sait comment "l'éteindre" ! Je n'ai bien entendu aucun regret d'avoir eu en 2008 le pragmatisme de quitter ce secteur : nombre de mes concurrents de l'époque ont disparu (l'un d'entre eux a été revendu à la Poste pour 1€ symbolique après avoir levé 15M€ !), ou ont plus ou moins végété. Et si "The Other Store" - créée en 2008 par 3 transfuges de chez moi - réalise aujourd'hui un CA conséquent (près de 20M€ sur l'exercice 2014-2015), il n'a pas encore prouvé qu'il savait gagner de l'argent (en perte depuis l'origine en fait).
2012 fut bien sûr l'avènement de L'Accélérateur, aujourd'hui 1ère structure d'accompagnement long terme et de financement d'amorçage pour entrepreneurs en France. Et si je jette un oeil sur la brochette de start-up qui nous ont rejoint cette année là, je m'en félicite : Zenchef, FioulReduc, TheFrenchTalents, Comitam, AnimalBox, Beepjob, Cuisishop, etc...Au total, nos start-up de 2012 , qui démarraient totalement à l"époque, c'est 100M€ de CA cumulés en 2015, plus de 20M€ de levées de fonds, et pas loin de 200 emplois crées. Et ce n'est qu'un début, puisque nous sommes la pour construire sur le très long terme avec elles. Même si certaines, par opportunité et pragmatisme, ont déja été revendues à des grands groupes, comme PastaParty à Meetic en avril 2013 (ici), ou Zensoon à Wahanda en juin 2015 (la).
Alors, je prends le pari que 2016 devrait aussi être une autre belle et grande année...
Et, au fond, encore plus important que les succès prévisibles des start-up de L'Accélérateur, qui continueront certainement pour la plupart d'avancer vite et bien en 2016, ce qui me tient à coeur avant tout c'est que L'Accélérateur soit reconnu, s'impose et marque l'écosystème entrepreneurial par ses valeurs. Et si je me bats au quotidien, c'est bien pour cela.
Dans 20 ou 30 ans, ce qui comptera pour moi et ce qui doit rester, ce dont je souhaite être fier, ce n'est pas seulement d'avoir contribué à développer quelques dizaines de très belles entreprises en partant de quasiment 0 (je dis bien des dizaines, et non pas des centaines), mais aussi et peut-être surtout les valeurs que j'aurais véhiculées et transmises, pour lesquelles je me serais battu, et la façon avec laquelle nous serons arrivés à la réussite de nos entrepreneurs, avec bienveillance, avec inspiration, avec exigence, avec ambition mais humilité à la fois...
Une méthode qui aussi bien sur les plans technique et humain prend forme de plus en plus précisément aujourd'hui, animée par un pool de mentors business et de coachs en développement mental tout à fait remarquable.
Quelle joie ainsi cette année encore de recevoir ce genre de voeux de la part de nos entrepreneurs : "on sait qu'on peut compter sur toi et rien n'est plus rassurant", ou "merci pour tous ces projets que tu accompagnes avec tant de dévouement et d'énergie", ou encore "merci pour ta bienveillance, tes conseils et l'nspiration que tu délivres". Nous savons alors que nous sommes sur la bonne route, et que nos valeurs sont bien perçues.
Cristallisant nos valeurs, L'Accélérateur peut se définir par le tryptique suivant :
- We are entrepreneur-sided. Notre raison d’être fondamentale c’est d’aider les entrepreneurs à réussir en les accompagnant depuis leurs premiers pas, et ce pendant très longtemps. Nous avons donc une implication passionnée, bienveillante, dévouée et loyale pour faire réussir les entrepreneurs, et ce sur le très long terme. Si cet engagement est notre vocation, nous pensons que nous pouvons aussi en faire un modèle économique win/win en investissant très tôt dans leur start-up, prenant des risques là où d'autres n'en prennent pas, et en réinvestissant ensuite avec discernement aux tours suivanst. Entrepreneur-sided veut aussi dire que nous misons d'abord et avant tout sur les hommes et travaillons à renforcer leur mental, aspect clé comme pour tout sportif de haut niveau ! Il y a d'ailleurs tellement de parallèles à faire entre les champions sportifs et les entrepreneurs successful. A commencer par le fait qu'un grand champion, s'il avait certainement des aptitudes intrinsèques, a surtout eu le mental spécifique pour accepter et supporter les dizaines de milliers d'heures d'entrainement pour se hisser au plus haut niveau...Combien d'entrepreneurs ont arrêté en chemin, alors qu'ils avaient probablement et potentiellement de l'or sous les doigts...
- We are builders & long term. Par philosophie et mais aussi par réalité business. Les grandes réussites arrivent sur la durée, par la ténacité, la créativité, la remise en cause et l'amélioration permanente, etc. Nous nous donnons donc le temps pour trouver le modèle, puis le développer encore et encore. Nous ne cherchons pas et nous ne dépendons d'ailleurs pas économiquement dans notre modèle d’un home-run en quelques année, nous n'avons pas d’horizon de sortie programmé, nous pouvons en fait peut rester aussi longtemps que l’entrepreneur le souhaite. Et évidemment c'est encore mieux s'il est bâtisseur et s'il considère, comme Xavier Zeitoun, co-fondateur et CEO de Zenchef, "qu'il n'a pas crée une société pour la revendre" ! Comme je l'écrivais le 20 décembre, "il faut 2 ans pour survivre, 5 ans pour exister, 10 ans pour percer et 20 ans pour réussir". Il y a des exceptions...mais ce sont des exceptions et on ne bâtit pas un plan crédible sur des exceptions...même si on peut avoir de la chance !
- We tell the truth. Passés par l'entrepreneuriat en ayant eux-mêmes crée, développé et revendu de nombreuses sociétés, les partners et mentors de L'Accélérateur sont ancrés dans le concret, ils sont rationnels, pragmatiques, avec un discours de vérité et d'exigence. L'idée est peut-être de faire rêver... mais avant tout avec une connexion avec la réalité et le travail concret (il faut avoir la tête dans les étoiles...et les pieds bien sur terre). Notre gameplan est avant tout de créer de la réussite concrète, et ce alimenté par une vraie méthodologie et des valeurs entrepreneuriales. Un entrepreneur me disait récemment d'ailleurs : "je souhaitais néanmoins te remercier personnellement... pour le temps que tu nous as consacré et les conseils que tu nous as donnés. Ton pragmatisme, parfois dur à entendre pour de jeunes entrepreneurs attachés à leur projet, nous a fait mûrir et mieux comprendre ce que nous faisions".
Si 2016 devrait être une belle année, une année de croissance et de nouveaux succès, je pense que ce sera aussi une sorte d'année "charnière", marquant la fin d'un cycle et le début d'un autre. Je ne peux pas en dire plus à ce stade...On faira le point en fin d'année...
Sur le plan macro, je note que La France aspire à un changement profond et un renouvellement des élites politiques qui - autant à droite qu'à gauche - ont jusque là surtout fait la preuve de leur incapacité à inspirer et résoudre les problèmes : 75% de nos compatriotes ne souhaitent voir ni Sarko ni Hollande se représenter en 2017... Le trublion Macron, avec son langage de vérité, est encore celui qui recueille le plus de suffrages !
Espérons que sur ce plan là on sera aussi sur une année charnière, car un nouveau Sarko-Hollande serait dramatique et cornélien ! Si cela était la cas, la présence de Marine le Pen semblant à cette heure plus que probable au 2ième tour de la présidentielle de 2017, l'un de ces 2 se retrouverait alors automatiquement Président contre la volonté de la vaste majorité des français. Ce qui laisse alors présager de lendemains très difficiles.
J'aime beaucoup le ratio de l'Accélérateur : "c'est 100M€ de CA cumulés en 2015, plus de 20M€ de levées de fonds"
Mon intuition me dirait que pour beaucoup d'autres fonds d'investissement moins talentueux, ce doit être juste l'opposé(ou même bien pire)...
Posted by: Michel Nizon | January 04, 2016 at 05:33 PM
Bonjour Michel,
C'est un plaisir de vous de lire quotidiennement et j'adhère totalement à votre philosophie (et celle de l'Accélérateur bien entendu). Dreams Come True.
Bonne année et à bientôt.
Cordialement,
Jérémy
Posted by: Jérémy | January 05, 2016 at 10:36 AM
... excellents conseils : meilleurs voeux 2016 !
L'accélérateur serait véritablement LE chainon manquant sous d'autres latitudes.
De retour a Paris, je serais heureux de vous rendre une petite visite.
Posted by: Guy Badjoko | January 06, 2016 at 07:51 PM
Hello Michel,
Je ne peux pas dire pour les fonds...
Mais nous, fondamentalement nous ne sommes pas du tout un fonds d'investissement !
C'est important de bien le préciser : notre ADN, notre passion, notre gameplan, notre dévouement, notre trip, etc, c'est d'accompagner et de faire réussir des entrepreneurs en leur apportant expérience, implication, réseau, pragmatisme, bienveillance, etc. Et si nous sommes aussi investisseur en parallèle, c'est simplement pour gagner notre vie et continuer à accompagner !
Un fonds d'investissement a pour but principal de faire de l'argent avec celui qui lui a été confié, et, au passage, peut éventuellement "accompagner" et donner des conseils...
Nous c'est donc tout l'inverse ! Donc on peut vraiment pas comparer les choses...même si dans les 2 cas il y a des investissements ;-)
Posted by: Michel de Guilhermier | January 06, 2016 at 07:56 PM
Guy, avec plaisir ;-)
Excellente année également !
Posted by: Michel de Guilhermier | January 06, 2016 at 07:57 PM